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Revue de presse

Le Monde, Pierre Gervasoni

Les Éclairs, un opéra éblouissant de Philippe Hersant.

La langue d'Echenoz court très naturellement sur les lèvres des chanteurs par la grâce d'une prosodie de maître. Hersant excelle dans ce domaine. Sa ligne de chant est toujours simpe, mais jamais impersonnelle. D'essence tonale, l'écriture se plaît à confondre délits et délices harmoniques... Sa partition éblouit. Les Éclairs est incontestablement un opréa-comique.

Libération, Olivier Dahan

Il faut se précipiter pour écouter la partition de Philippe Hersant admirablement servie par le Philharmonique de Radio France et le chœur Aedes que dirige Ariane Matiakh.

Le Figaro, Christian Merlin

«Les Éclairs» sont bien pris en charge.

Le texte est clair tout en étant raffiné. Il est constamment mis en valeur par une prosodie limpide, conversation en musique qui n’exclut pas les envolées lyriques. Le grand atout de Philippe Hersant, c’est la science de l’orchestration. Dans la fosse, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, bien guidé par Ariane Matiakh, distille des couleurs extrêmement subtiles.

La Croix, Emmanuelle Giuliani

Brillants Éclairs à l'Opéra Comique sur une musique de Philippe Hersant et un livret de Jean Echenoz.

Du premier, orchestration chatoyante où les cuivres rugissent, les vents pépient, les cordes frémissent et les percussions plaisantent. Sans oublier un synthétiseur bruissant et bruitant à point nommé… on admirera aussi l’écriture vocale aisée ; les airs, ensembles et pages chorales balancent en toute fluidité entre les styles, la comédie musicale et le jazz tendent une main amicale à l’opéra « savant ».

Du second, on retrouve la saveur musicale des mots, l’humour en lisière, la simplicité mêlée d’étrangeté qui donne au parcours de Gregor (alias le savant Nikola Tesla) son énergie et son indicible tristesse.

Les Echos, Philippe Venturini

La vie de l'ingénieur Nikola Tesla romancée par Jean Echenoz et mise en musique par Philippe Hersant emporte le spectateur dans un courant continu d'émotions et de sensations.

Transfuge, Hugues le Tanneur

Les Eclairs, opéra joyeux, est le fruit d’une rencontre particulièrement faste entre Philippe Hersant et Jean Echenoz, impeccablement servie par la mise en scène de Clément Hervieu-Léger. Entre le livret, dont les dialogues pétillent d’humour, et la musique, l’adéquation est évidente... Pour sa troisième incursion dans l’univers de l’opéra après Le Château des Carpates, d’après Jules Verne et Le Moine noir d’après Anton Tchékhov, Philippe Hersant a visiblement trouvé dans le livret à la fois tragique et comique de Jean Echenoz un imaginaire à sa mesure.

Musique classique & Co, Thierry Vagne

Une soirée magnifique où l'on a tout au long un sentiment d'évidence dramatque et surtout muiscale, tout en interrogeant sur notre société et ses rapports à la science.

Webtheatre, Hélène Pierrakos

Une fascinante conjonction de talents, de rencontres et de circonstances semble avoir présidé à la création du troisième opéra de Philippe Hersant sur un livret de Jean Echenoz.

Bachtrack, Jean-Marc Piriou

Olivier Mantéi a d’abord sollicité Jean Echenoz, qui a transformé Des Eclairs, sa biographie romancée de Tesla, en un livret en vers. Sur cette base, Philippe Hersant, a ensuite composé la partition. De cette collaboration inédite est née une pépite superbement mise en valeur par le travail d’orfèvres d'Ariane Matiakh à la direction musicale et de Clément Hervieu-Léger à la mise en scène. En moins de deux heures, ce sont vingt-cinq scènes, souvent très courtes, qui, à la manière d’un film, s’enchaînent à un rythme soutenu.

Classique mais pas hasbeen, Lysiane Larbani

Plutôt habitué aux musiques chorales et autres chants sacrés, Philippe Hersant offre durant Les Éclairs trois actes d’une musique joyeuse, scintillante et énergique, avant de conclure par un quatrième acte plus dramatique.

Première Loge, Pierre Brévignon

Qu’elle soit chambriste, instrumentale, symphonique ou vocale, la musique de Philippe Hersant tisse de longue date un dialogue étroit avec la littérature, avec un tropisme certain vers le romantisme Mitteleuropa et le gothique anglo-saxon... Une écriture orchestrale raffinée, portée par une vitalité motorique.

 

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